Thanos menaçait massivement l’ensemble de l’univers. Une ombre que le MCU a mis en place tout au long de la Saga de l’infini, alors qu’il accumulait la puissance nécessaire pour mettre son plan à exécution. Une nouvelle menace va émerger avec Kang le Conquérant, qui s’avérera être encore plus dangereux que Thanos en raison de sa puissance et de sa compréhension du temps ainsi que du multivers.
Dans une interview accordée à Screen Rant, Stephen Broussard a expliqué ce qui rend Kang plus dangereux que Thanos. Il a expliqué que les variants de Kang sont infinies, alors que Thanos était un individu. Il fait également allusion aux conflits entre les variants de Kang, les comparant à une guerre entre les dieux.
Kang est la prochaine grande menace de niveau Avengers après Thanos, et le Titan Fou a effacé la moitié de l’univers. Qu’est-ce qui rend Kang encore plus dangereux ?
Je pense que ce qui rend Kang si dangereux, c’est que nous sommes presque pris dans une guerre des Dieux. Ils existent clairement dans cet état supérieur. Ils ont déchiffré le code du multivers, comme Celui Qui Demeure nous l’explique en quelque sorte, et ils forment cette alliance difficile. [Ça ne se passe pas toujours bien, c’est pourquoi ils bannissent [Kang le Conquérant] ici.
Et l’humanité, comme on dit, commence à gratter à la porte du multivers. Nous avons été protégés. Nous avons été en quelque sorte isolés dans ce que j’appelle notre terrarium, qui est l’analogie que nous avons utilisée dans la saison 1 de Loki. Cette porte est enfoncée, et c’est ce que vous voyez dans les événements de No Way Home et les événements de Multiverse of Madness. Et il y a un chaos qui s’en dégage ; le chaos des possibilités et le chaos des différentes choses qui entrent en collision me font vraiment peur.
Il y avait une singularité de Thanos qui était effrayante.
Mais les Kangs ne sont même pas d’accord entre eux, et c’est ce qui est excitant à penser. La nature imprévisible de cette menace est tout aussi effrayante que celle de Thanos, mais elle ne nous donne pas l’impression d’être une redite.