Dans un monde post-apocalyptique, James Mangold en dit un peu plus sur les points du vue de film et le déroulement de son histoire.
L’arc Old Man Logan se déroule une cinquantaine d’années après notre époque, dans un monde où les mutants sont traqués et la plupart des superhéros morts. James Mangold (réalisateur) confirme en partie l’adaptation de ces quelques points lors d’un récent entretien auprès de Collider.
On rappelle néanmoins que l’arc Old Man Logan inspire l’histoire du métrage, mais n’est pas et ne peut pas être retranscrit comme dans la BD.
Du coup, Mangold soulève des questions existentielles au travers de sa réalisation. Selon lui son film aborde des sujets comme la remise en question de sois, notre existence, la solitude et le temps qui passe. De quoi offrir un Marvel plus pensif et philosophique.
Nous sommes dans le futur. Nous avons dépassé le point de l’épilogue de Days of Future Past. Nous retrouvons nos personnages dans des circonstances qui paraissent plus tangibles. Les questions posées sont l’âge, la solitude, l’appartenance, la pertinence de notre existence. J’y voyais une vraie opportunité. Nous avons vu ces personnages en action, en train de sauver l’univers. Mais qu’arrive-t-il lors de la retraite, après la fin d’une carrière ?
Il est essentiel que vous voyez cette histoire comme celle d’un homme qui se bat contre sa mortalité et l’idée d’héritage. Et qui se pose la question de savoir si le monde aurait été meilleur avec ou sans lui.
Et en bonus une X-23 en détresse dans les bras de son sauveur.